Préservez votre famille des polluants !

Bonjour à tous !

Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous savez que mon livre Préservez votre famille des polluants ! est paru chez De Boeck Supérieur (« DBS », groupe Éditions Albin Michel). J’en suis très heureux !

Cet article rassemble les posts qui ont accompagné cette parution, les essentiels à avoir en tête !

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Post 1 – Annonce

Je suis très heureux de vous annoncer la parution de mon livre Préservez votre famille des polluants ! chez De Boeck Supérieur (« DBS », groupe Albin Michel) !

Ce petit guide pour le quotidien vise à aider les parents à entourer leurs enfants d’un environnement favorisant la santé, avec moins de pollution et plus de nature. Je prévois de vous le faire découvrir avec plusieurs posts dans la semaine à venir.

Je souhaiterais remercier chaleureusement tous ceux qui ont rendu ce projet possible, notamment Amaury Derand et Charles Groulier, ainsi que Fabien Squinazi et Anne-Caroline Prévot qui m’ont fait le grand honneur de préfacer et de postfacer l’ouvrage.

À cette occasion, je souhaiterais également exprimer ma gratitude aux personnes qui m’ont accompagné en tant que mentors dans mon parcours jusqu’ici : Jean-Marie Pezzoni, Christophe Didier, Denis Zmirou-Navier, Martine Ramel et Roseline Bonnard. Un très grand merci à vous.

À bientôt pour la suite !

Toucher un maximum de personnes

PS : si la « mission » du livre vous parle et que vous souhaitez contribuer à ce qu’il touche un maximum de personnes, cela m’aiderait beaucoup :

• que vous aimiez et partagiez ce post sur vos différents réseaux sociaux ;
• si vous animez un blog, un podcast ou une chaîne YouTube en lien avec la parentalité, la santé ou l’environnement, que vous m’invitiez pour un échange/interview, qui porterait notamment sur les bonnes pratiques présentées dans le livre.

Merci !

Post 2 – Soutenir l’activité des librairies physiques

Préservez votre famille des polluants ! est paru ce jeudi 6 mars chez De Boeck Supérieur (« DBS », groupe Albin Michel). L’objectif de ce guide pour le quotidien des parents est de partager des bonnes pratiques visant à entourer les enfants d’un environnement favorisant la santé, avec moins de pollution et plus de nature.

Vous le trouverez dans toutes les bonnes librairies francophones ! Et pour contribuer à soutenir l’activité des libraires, j’ai préparé plusieurs cadeaux si vous achetez en mars des exemplaires dans une librairie physique (idéalement un libraire local ; sinon, FNAC, Cultura, le Furet, etc.) et PAS en ligne.

Vous trouverez sur cette page la liste des cadeaux offerts en fonction du nombre d’exemplaires acheté. Par exemple, pour le cas le plus fréquent de l’achat d’un exemplaire, je vous offre une version électronique de Louis et la magie de la nature, un livre illustré pour enfants faisant partie de la collection Les bons conseils de la Fée Sana, et qui porte sur la connexion entre les enfants et la nature.

Pour cela, il suffit de m’envoyer une photo de votre ticket de caisse à cette adresse mail : libraires@sante-enfants-environnement.com

A bientôt !

Post 3 – Extrait de la préface de Fabien Squinazi

Voici un extrait de la préface de Préservez votre famille des polluants !, écrite par Fabien Squinazi, médecin biologiste, ancien Directeur du Laboratoire d’hygiène de la ville de Paris et Président de la Commission spécialisée « Risques liés à l’environnement » Haut Conseil de la santé publique.

« Guillaume Karr nous montre que les facteurs environnementaux (physiques, chimiques, biologiques, sociaux, psycho-sociaux et esthétiques), qui constituent le cadre de vie de l’enfant, ont des interactions parfois négatives, mais aussi positives, avec son état de santé. Il rappelle que l’enfant est un être en construction, dont la vulnérabilité peut être exacerbée par le statut socio-économique de ses parents et par son habitat. L’enfant dépend ainsi des adultes pour lui offrir un environnement favorable à sa santé et le protéger contre les dangers des pollutions environnementales, qui peuvent provoquer souffrances et maladies chroniques, à court ou long terme. […]

Méthode B.I.S.O.U.

Face au marketing, parfois très offensif dans nos sociétés, Guillaume Karr soutient une consommation responsable et une sobriété heureuse. Ces conseils pourraient être rapprochés de la méthode B.I.S.O.U., lorsque nous sommes confrontés à un achat :

✔️ B comme Besoin : À quel besoin cet achat répond-il chez moi ?

✔️ I comme Immédiat : Puis-je attendre quelques jours avant de me décider ?

✔️ S comme Semblable : Ai-je déjà un objet qui a cette utilité ?

✔️ O comme Origine : Quelle est l’origine de ce produit ? Par qui, comment a-t-il été fabriqué ?

✔️ U comme Utilité : Cet objet va-t-il m’apporter un confort primordial ? »

Merci beaucoup d’avoir accepté d’écrire la préface du livre, Fabien, c’est un grand honneur !

Post 4 – Extrait de la postface d’Anne-Caroline Prévot

Voici un extrait de la postface de Préservez votre famille des polluants !, écrite par Anne-Caroline Prévot, Directrice de recherches au CNRS en écologie et psychologie de la conservation, Chercheuse au CESCO (Muséum national d’histoire naturelle, Paris).

« Changer de regard et d’usages de et dans la nature, voilà ce que propose Guillaume Karr dans le livre que vous venez de finir. Sa proposition est totalement en phase avec les appels multiples de la communauté scientifique internationale, réunie au sein de la Plateforme internationale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES, sorte de GIEC de la nature), qui appelle depuis 2019 à mettre en œuvre des changements transformateurs de nos modèles de société si nous voulons rester dans un monde soutenable.

Ces changements sont à inventer ensemble, en intégrant les diversités des individus, des cultures et de la nature, avec comme maître-mot « relations » : relations entre les êtres vivants dans les forêts, campagnes, villes, montagnes et autres écosystèmes ; relations entre les humains et les autres êtres vivants dans des expériences de nature renouvelées ; relations entre les groupes sociaux et culturels pour construire du commun ; relations entre les individus dans le respect et la compréhension ; relations entre parents et enfants dans une logique de transmission et d’échanges réciproques de soin, de savoirs, d’émerveillements, de confiance…

Ces demandes de la communauté scientifique restent souvent lettre morte et les rapports des experts sont vite rangés dans des endroits poussiéreux pour ne pas déranger la marche du monde ; ces demandes sont aussi souvent taxées de moralisatrices ou hors-sol. C’est ce que ne fait pas le livre de G. Karr ! Au contraire, tout en étant toutes appuyées sur des consensus scientifiques, les propositions de ce livre sont très concrètes et permettront à celles et ceux qui le veulent de faire entrer la nature et les relations qu’elles et ils ont avec elle dans ce qui fait sens pour elles et eux. En cela, ce livre construit un pont très bienvenu entre les sphères scientifiques et la réalité quotidienne d’adultes et de parents, comme autant de petites idées à faire siennes au jour le jour. »

Merci beaucoup d’avoir accepté d’écrire la postface du livre, Anne-Caroline, c’est un grand honneur !

Post 5 – Enjeux de santé environnementale pour parents : « Les enfants ne sont pas de petits adultes ! »

40 000 décès prématurés par an attribuables aux concentrations en particules fines dans l’air ambiant, rien qu’en France ; 30 000 pathologies par an (cancers, maladies cardiovasculaires, AVC…) attribuables à six substances parmi la « multitude de polluants dans l’air intérieur » (Anses) ; entre 100 et 150 000 substances chimiques commercialisées sur le marché européen avec de bonnes connaissances uniquement pour seulement quelques centaines d’entre elles ; etc.

Les exemples symboliques mis en avant varient selon les scientifiques que je rencontre, mais ils convergent vers un consensus : « La santé environnementale est un enjeu majeur de santé publique » (Santé publique France). 🌱

Cette conclusion s’applique tout particulièrement aux enfants, notamment parce qu’ils sont généralement plus exposés que les adultes, et aussi parce qu’ils présentent des « fenêtres de vulnérabilité » : il s’agit de périodes du développement très sensibles, où la construction du corps peut être facilement perturbée, et où des effets irréversibles peuvent donc être induits, pendant l’enfance et même plus tard dans la vie. 🧑🧑‍🦳

La première partie de Préservez votre famille des polluants ! présente les essentiels à connaître pour les parents 👨‍👩‍👧‍👦 sur les enjeux de santé environnementale, car pour entourer les enfants d’un environnement favorisant la santé et prendre les meilleures décisions, il est important de commencer par avoir une idée assez claire de la situation que l’on a à gérer en tant que parents.

Post 6 – Bonnes pratiques pour réduire les expositions de enfants aux polluants du quotidien

Ma compagne est Japonaise et mes deux filles sont Franco-Japonaises.
Au Japon, classiquement, un vestibule appelé genkan (玄関) permet d’enlever ses chaussures avant de rentrer à la maison. 🏡
Cette habitude permet de diminuer la quantité de poussières provenant de l’extérieur… ce qui en fait une bonne pratique de santé environnementale très intéressante ! En effet, les poussières extérieures peuvent contenir divers types de polluants (pesticides, hydrocarbures, métaux lourds…), dont nous souhaitons minimiser la présence à la maison, et en particulier sur les jouets et les mains des enfants qui jouent au sol ! 👶
Et si vous n’avez pas encore envie de tout casser dans votre logement pour faire un genkan (…), un petit meuble d’entrée permet de faciliter l’opération et de proposer des chaussons aux invités… même si rien ne vaut le plaisir de marcher pieds nus ! 🙂

Éviter ou réduire les expositions des enfants aux polluants du quotidien nécessite de connaître et de savoir appliquer des bonnes pratiques de référence, simples, concrètes et efficaces. C’est l’objet de la deuxième grande partie de Préservez votre famille des polluants ! 📗, qui présente des bonnes pratiques par pièce classique de maison (cuisine, chambre, salle de bain…), par type d’activité domestique (ménage, bricolage, rénovation…), et par grande catégorie de sources extérieures (trafic, industries, environnement professionnel…).

Post 7 – (Re)connexion des enfants avec la nature

Si un environnement dégradé peut être une source de dangers, un environnement de qualité peut être une source de bienfaits pour la santé des enfants. Par exemple, la présence dans une nature « verte et bleue », incluant de la végétation 🌳 et des eaux de surface 💦, a notamment été associée à :

• une réduction du stress physiologique et de l’hyperactivité ;
• une augmentation du niveau d’activité physique et du bien-être émotionnel ;
• un meilleur fonctionnement du système immunitaire.
  Certains auteurs mettent aussi en avant l’expérience du Beau que les enfants peuvent y faire.

Ces multiples bienfaits ont suggéré l’hypothèse de la « biophilie » : une expérience directe de la nature correspondrait à un besoin fondamental de l’être humain. Et dans ce cadre, l’environnement de l’enfance semble être le plus marquant : c’est une déclinaison de l’hypothèse de la « topophilie ».

Pyramide de connexion avec la nature

Si c’est tellement important, alors comment aider nos enfants à construire une connexion avec la nature ?
Voici une proposition de démarche en quatre temps, dont les ordres de grandeur me semblent être des points de repères intéressants :

• Tous les jours – jeux ou balade dans la nature de proximité : jardin, square, parc, zone arborée, etc. Même une séance d’une dizaine de minutes, répétée régulièrement, peut faire une vraie différence.
• Une fois par semaine – une activité consacrée à la découverte et à l’exploration de la nature : jardinage, bain de forêt, observation d’oiseaux ou d’insectes, initiation à la botanique, cueillette de champignons, etc.
• Une fois par mois – une sortie dans un parc de dimension régionale ou nationale. En France : Parc naturel régional (PNR), Parc national, site Natura 2000, etc.
• Une fois par an – une sortie dans une zone de nature plus « sauvage », c’est-à-dire pas ou peu influencée par des activités humaines.
  Personnellement, je trouve cette démarche assez stimulante. 😀

Sur cette base, la troisième grande partie de Préservez votre famille des polluants 📗 porte sur comment exposer vos enfants à des environnements naturels de qualité, dans l’objectif de favoriser un haut niveau de santé et de bien-être. Notamment, on voit ensemble vers quels types d’environnement naturel se diriger préférentiellement et quelles stratégies concrètes on peut mettre en œuvre pour nourrir la connexion des enfants avec la nature.
Et puis on voit aussi ensemble de nombreux conseils et astuces pratiques. Par exemple : comment s’adapter aux jours de pluie 🌧️🌈, comment faire quand on habite en ville 🏢, ou encore comment gérer les aspects liés à la sécurité des enfants, et même comment mettre en place une démarche d’éducation à la prise de risque mesurée.

Environnement favorisant la santé

Donc comme vous le voyez, on ne va pas jouer « que défensif », comme dirait ma fille ainée. On va aussi « jouer offensif », dans le but d’entourer les enfants d’environnements favorisant la santé. Ou pour faire écho à une métaphore classique, on ne va pas juste s’efforcer d’éviter et de réparer les potentielles fuites du bateau – c’est-à-dire ce qui tire la santé vers le bas -, on va aussi travailler à hisser les voiles – c’est-à-dire ce qui tire la santé vers le haut -, autant de voiles que possible, afin de contribuer à ce que nos enfants aient les meilleures conditions pour s’épanouir dans leur vie.

Ce que je vous propose pour renverser la dynamique de la « culture de la chambre » et pour que nos enfants ne soient pas des « enfants d’intérieur », c’est de viser un enfant avec un esprit « hybride », d’après l’expression de Richard Louv : un enfant qui soit capable de tirer le meilleur des deux mondes, le meilleur du monde technologique et du monde naturel.

Post 8 – Sur les épaules des géants du domaine

Préservez votre famille des polluants ! est un travail de synthèse qui s’appuie sur le travail de chercheurs et d’experts du domaine de la santé environnementale. Certains d’entre eux sont de vrais sources d’inspiration pour mon propre travail ; et j’aimerais finir cette série de posts d’introduction en leur rendant hommage et en partageant les mots de certains d’entre eux, avec notamment des citations reprises dans le livre.

Au cours du développement du fœtus et du jeune enfant, de nombreux remaniements tissulaires et moléculaires ont lieu ; ce sont, de ce fait, des périodes d’extrême vulnérabilité vis-à-vis des expositions environnementales et il a été constaté qu’une exposition à des perturbateurs endocriniens, même limitée dans le temps, pouvait augmenter le risque de pathologies tout au long de la vie (par exemple : neurocomportement, obésité, etc.). – Robert Barouki, Karine Audouze et Xavier Coumoul

Est-il envisageable de ne rien faire jusqu’à ce que l’on constate des morts ou des malades liés à cette exposition, sans aucun doute possible ? On sait que pour apporter une preuve irréfutable, il aura le plus souvent fallu décompter les victimes. Aujourd’hui, c’est difficilement acceptable, selon les valeurs de notre société. Pourtant, c’est bien cette logique qui, jusqu’à une période somme toute assez récente, a régi la gestion des risques. – Francelyne Marano, Robert Barouki et Denis Zmirou-Navier

Force est de constater que notre ignorance dépasse nos connaissances. Les effets de la plupart des produits chimiques ont peu ou pas été étudiés. – Theo Colborn

Nous commençons seulement maintenant, plus d’un siècle après l’essor de l’industrie chimique, à réaliser que l’exposition à des produits chimiques toxiques dans les premières années de vie peut causer des maladies et des incapacités non seulement dans l’enfance, mais tout au long de la vie. – Philip et Mary Landrigan

« Only one chance »

Notre cerveau n’a qu’une seule chance de se développer. Les dégâts subis par le cerveau d’un enfant seront probablement irréversibles. – Pr Philippe Grandjean

C’est souvent très frustrant de constater le faible impact du travail scientifique sur l’action politique et régulatrice. – Andreas Kortenkamp

Étant donné qu’à l’heure actuelle nous ne pouvons pas compter sur les réglementations, nous devons donc nous demander ce qu’il est possible de faire au niveau individuel pour lutter contre l’empoisonnement général que nous subissons tous. – Barbara Demeneix

La prévention est une médecine silencieuse, limitant des catastrophes souvent invisibles. [Les] mesures de prévention apportent parfois des co-bénéfices majeurs et sont souvent plus coût-efficaces que la thérapie. – Rémy Slama

Canaux délaissés des impressions sensorielles

Explorer la nature avec un enfant revient principalement à devenir réceptifs à ce qui se trouve tout autour de vous. C’est réapprendre à utiliser vos yeux, oreilles, narines et bouts de doigts, rouvrant les canaux délaissés des impressions sensorielles. – Rachel Carson

Explorer la vie, s’affilier à elle, constitue un processus profond et complexe du développement mental. Dans une mesure encore sous-évaluée par la philosophie et la religion, notre existence repose sur cette inclination, notre esprit en est tissu. – Edward O. Wilson

Une citation « bonus », qui me semble être très pertinente en santé environnementale pour parents : L’obligation d’endurer nous donne le droit de savoir. Et le fait de savoir nous offre la possibilité du changement. – attribué à Jean Rostand

Post 9 – Poursuivre votre voyage en santé environnementale

Après avoir fini Préservez votre famille des polluants !, certains parents pourront souhaiter approfondir plus avant ce thème de la santé environnementale des enfants. Dans cette optique, j’ai proposé quelques ressources complémentaires à la fin du livre, avant la section détaillant les références sur lesquelles s’appuie le livre.

Ces ressources complémentaires s’adressent directement au grand public ou alors me semblent bien compréhensibles par des personnes « non spécialistes ». Il s’agit de livres, d’articles ou de sites Internet qui me paraissent pouvoir utilement nourrir nos réflexions de parents. Par exemple :

• William Dab. (2020). Santé et environnement. Que sais-je ? no 3771.
• Patricia Rannaud-Bartaire. Site Internet Les Perturbateurs Endocriniens – Ma Maison : https://lesperturbateursendocriniens-mamaison.com
• Laurence Huc & Robert Barouki. (2021). Réglementation des substances chimiques : science et décision, lenteur et confusion. Annales des Mines – Responsabilité & Environnement. https://www.annales.org/re/2021/resumes/octobre/18-re-resum-FR-AN-octobre-2021.html
• Emilie Lagoeyte. Blog Eveil et Nature : https://eveil-et-nature.com/
• Sampson, S. D. (2016). Comment élever un enfant sauvage en ville. Éditions des Arènes

Post 10 – Comment vous pouvez m’aider à toucher un maximum de parents

Sensibiliser les parents aux bonnes pratiques de santé environnementale, visant à entourer les enfants d’un environnement favorisant la santé, c’est l’objectif de Préservez votre famille des polluants !

Si cette « mission » vous parle, pourriez-vous m’aider à ce que les bonnes pratiques présentées dans le livre touchent un maximum de parents svp ?

Voici une liste d’aides que vous pouvez apporter :

• laisser un commentaire sur les librairies en ligne que vous utilisez (ex : FNAC, Cultura, Amazon) même si vous avez acheté le livre par ailleurs dans une librairie locale. La présence de commentaires est un critère clé pour que le livre rentre dans les recommandations automatiques des librairies en ligne.
• aimer et partager (reposter) la série de posts que j’ai publié sur les réseaux sociaux du 6 au 16 mars (LinkedIn, Instagram, Bluesky Facebook, X) ;
• acheter plusieurs exemplaires du livre (et profiter des cadeaux associés !), de préférence dans des librairies locales, pour les offrir où ils peuvent être utiles autour de vous ! 🙂
• demander à votre bibliothèque locale de commander le livre ;
• prendre une photo de vous avec le livre et la partager sur vos réseaux sociaux. Avec votre visage, c’est le mieux ; mais même sans, cela sera très utile !
• si vous animez un blog, un podcast ou une chaine YouTube en lien avec la parentalité, la santé ou l’environnement, vous pouvez me proposer une interview, qui porterait notamment sur les bonnes pratiques présentées dans le livre et sur la démarche dans laquelle il s’inscrit.

Merci par avance pour votre aide et à bientôt !

Guillaume

Dessins par iamo’i’s