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Bonne lecture 🙂
Bonjour à tous !
Je souhaiterais remercier chaleureusement les lecteurs qui écrivent des commentaires à la suite des articles du blog : ces contributions permettent de compléter et d’enrichir le contenu initial des articles.
Parfois je ressens un peu de frustration car, lorsqu’un lecteur finit un article, il ne lit pas forcément toujours les commentaires correspondants, souvent faute de temps.
En cohérence avec le principe 20/80, voici quelques commentaires que je souhaite (re)partager avec vous, car ils constituent des retours d’expérience et des avis qui me semblent intéressants pour tout le monde !
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Pour diminuer les émissions des bougies que j’ai à la maison, je m’assure que la paraffine et la mèche sont propres : petits bouts de mèches, petits bouts d’allumette, imbrûlés, etc. Je fais en sorte aussi que la mèche soit ni trop courte ni trop longue (je vise environ 0,5 cm, je coupe si besoin). Bref je retire tout ce qui peut perturber la combustion. Dans le documentaire de France 5 diffusé en décembre, des recommandations similaires sont indiquées par un toxicologue… Bon, j’envisage quand même d’arrêter d’en acheter de ces trucs. – Vincent – Les polluants issus des encens et des bougies parfumées sont-ils préoccupants pour les enfants ?
Les déodorants / anti-transpirants (d’ailleurs, je trouve ça absurde, un « anti-transpirant », si la peau a besoin de transpirer, il me semble que cela a une utilité et qu’il ne faut pas l’en empêcher…) : j’ai commencé par passer aux sticks déodorants bio, puis au bout d’un moment, j’en ai eu marre de m’appliquer un produit sous les aisselles, même moins nocif que les déodorants « standards »… et cela fait quelques années que je ne mets plus rien. J’avais peur au début des réactions des personnes autour de moi par rapport à d’éventuelles odeurs, mais finalement, il n’y a pas plus de gêne pour mon entourage et moi je me sens bien comme ça. C’est bien sûr mon retour personnel, j’imagine qu’il doit y avoir une variabilité selon le type de peau, les vêtements que l’on porte, son activité, ses conditions de travail, etc. Si par la suite je suis amenée à en ressentir le besoin, je pense que j’essaierai des méthodes toutes simples, comme appliquer un petit peu de bicarbonate de soude… – Yum – Comment détoxifier le corps et l’environnement du quotidien, avec Debra Lynn Dadd
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Les tests de toxicité se font substance par substance, alors que nous sommes exposés à des dizaines de substances tous les jours, et que les « effets cocktails » sont potentiellement « synergiques » (dans le mauvais sens). Ce simple fait, qui ne fait l’objet d’aucune contestation et d’aucune controverse, a suffit à me convaincre que nous devrions réduire autant que possible nos expositions aux substances chimiques, qui sont de pures nouveautés à l’échelle de l’évolution. – Lisa – Protéger les enfants des pollutions du dehors, avec le chercheur Rémy Slama
Quand on parle de protéger ses enfants des pesticides, on parle presque systématiquement des résidus de pesticides dans les aliments. Mais en fait, ce que ton article nous apprend, c’est les études scientifiques existantes trouvent des risques significatifs pour d’autres types d’exposition : suite à des usages domestiques ou suite à des épandages à proximité du logement. Personnellement j’essaye de me concentrer sur les 20 % d’actions qui produisent 80 % des effets… et là, ça me fait envisager de grand changement de priorité à la maison ! :-S – Karen – Comment protéger les enfants des pesticides présents dans l’environnement du quotidien
Pour éteindre une bougie sans avoir de fumée noire, il suffit de tremper a mèche dans la cire liquide juste à côté. C’est tout bête, mais quasiment personne ne connait cette astuce ! – Sophie – Les polluants issus des encens et des bougies parfumées sont-ils préoccupants pour les enfants ?
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Je viens de lire un livre intéressant (Bioaccumulation, bioamplification des polluants dans la faune terrestre, d’Annette de Vaufleury, Frédéric Gimbert et Lucien Gomot) qui rapporte, pendant les périodes jeûne des ours polaires, une augmentation de l’élimination de certains polluants persistants, dont le fameux DDT. J’imagine que ce type de phénomène doit aussi se produire chez l’Homme : je suis content de pratiquer le jeûne intermittent avec ma femme et mes enfants ! – Benoit – Connaitre les polluants chimiques qui mettent nos enfants en danger, avec Anne-Corinne Zimmer (2/4)
Pour traiter les poux que ma fille a rapporté de l’école, j’ai utilisé de l’huile de coco et de l’huile essentielle de lavande. Oui, cela a pris plus de temps que l’application de quelques shampooings plein de pesticides puissants, mais cela n’a pas été infaisable non plus : 5 sessions de 1h-1h30, principalement dédiée à laisser les huile agir (on a joué aux cartes en attendant, on a vu plus désagréable 🙂 ). Et puis, au regard des risques avérés et soupçonnés, le sentiment de tranquilité et de devoir impliqué vaut largement et investissement modéré. – Kumi – Poux de tête : existe-t-il des alternatives naturelles aux shampoing contenant des pesticides ?
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Un grand merci pour toutes vos contributions A bientôt pour de futurs échanges !
Guillaume
Photo par hippiestink et Marita