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Bonne lecture 🙂
Bonjour à tous,
Cet article est le quatrième d’une série de six articles, portant sur les risques liés aux vaccins. Les articles précédents ont successivement présenté la complexité du sujet, technique et sociétale, quelques rappels sur les principes de base de la vaccination, les arguments en faveur d’une augmentation du nombre de vaccins obligatoires, les arguments en faveur d’une vaccination limitée à certains vaccins essentiels, sans adjuvant préoccupant.
En complément des premiers arguments critiques présentés dans l’article précédent, ce quatrième article porte sur les arguments en faveur de la non vaccination. Ceux qui sont souvent cités ou qui m’ont paru intéressants à connaitre sont les suivants.
- En France, comme dans la plupart des pays européens, les pouvoirs publics ne disposent pas de moyens techniques permettant la fabrication de vaccins. Cette fabrication est confiée à des entreprises privées, présentant de forts objectifs de rentabilité. Une augmentation des ventes de vaccins contribue à ces objectifs. Cette logique peut amener ces fabricants à tenter d’influencer les décisions publiques portant sur la réelle nécessité des vaccins, l’ampleur de la population concernée, le nombre de doses nécessaires, etc. [1]
- Les fabricants exposent les jeunes parents à des publicités pour leurs vaccins. Ces publicités contribuent à augmenter leurs ventes [2, 18, 22].
- Par le passé, certaines campagnes vaccinales ont fait l’objet d’un fort niveau de publicité, de la part des fabricants, auprès de la population générale et auprès des pouvoirs publics. Ces campagnes ont pu manquer de fondements scientifiques robustes, et ont même parfois significativement dépassé les recommandations du Comité technique des vaccinations (CTV). Par exemple, ce fut le cas de l’extension de la vaccination contre l’hépatite B en 1994-1996 [1, 3] et du vaccin Gardasil pour le cancer du col de l’utérus [3].
- Aujourd’hui, la santé publique se base sur une logique de consentement éclairé, inscrite dans le Code de la santé publique [1, 9, 18, 29] : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ». Ce consentement éclairé présuppose que les professionnels de santé et leurs patients soient bien informés et libres de leurs choix [1, 9, 52]. Une fois informés par des professionnels de santé compétents, les parents devraient être libres de faire vacciner ou non leurs enfants.
- En parallèle, le Comité Consultatif National d’éthique (CCNE) propose de faire évoluer la conception de la relation entre personnels de santé et patients, en la centrant sur le respect de l’autonomie, de la capacité de prise de décision de la personne [18, 23]. L’obligation de vaccination est contradictoire avec ce principe.
- La mobilisation vaccinalo-sceptique est souvent élevée parmi les professions médicales [1, 2, 17, 18, 33, 38, 45], ce qui est une marque de crédibilité scientifique. Par exemple, parmi les médecins généralistes, plus d’un quart considère que certains vaccins recommandés par les pouvoirs publics sont inutiles, et 20 % estiment même que les enfants sont vaccinés contre trop de maladies [16, 19].
- La complexité du corps humain nous dépasse [1, 2, 18, 24, 25, 27, 28, 50, 58]. Il est imprudent d’y introduire des substances toxiques, comme certains adjuvants (aluminium) [2, 14, 27, 59], par des voies d’expositions non naturelles (ex : voie intramusculaire) [24, 26, 27, 28, 50, 52, 59]. Même à faible dose, compte tenu des interactions potentielles entre substances et de potentiels effets décalés dans le temps (à moyen ou long terme), conclure à une absence de risques est une affirmation incertaine.
- Le principe de vaccination est caractéristique de l’approche de la science moderne : il nie la capacité naturelle des écosystèmes (le corps humain, les sols, les océans, la flore et la faune…) à s’autoréguler et à se régénérer [18, 26, 27, 33].
- La vaccination diffère de l’immunisation dans la mesure où elle court-circuite les barrières de défense naturelle du corps [27, 28, 50, 59] : la vaccination ne reproduit pas la manière dont le corps est mis au contact des agents pathogènes de son environnement.
- L’inoccuité des vaccins est démontrée par des études scientifiques et réglementaires, dont la (grande) majeure partie est financée par des fabricants industriels de vaccins [13, 30, 45, 51]. Une recherche indépendante est une recherche financée sur fonds publics ; la balance « bénéfices / risques » présentée par les autorités n’est donc pas fiable [34, 35, 36, 38, 40, 42, 43, 45, 46, 50, 52].
- La composition des vaccins n’est pas complètement maîtrisées par les fabricants. En particulier, des résidus de procédés de fabrication comprennent des centaines de fragments d’ADN, parfois issus de virus porcins [27, 30, 31, 58].
- Contrairement aux autres médicaments, les vaccins ne peuvent pas être étudiés avec des études randomisées en double aveugle, les études les plus fiables : cela supposerait de ne pas vacciner les enfants d’un « groupe témoin » (groupe de référence), pour pouvoir évaluer les potentiels avantages du groupe d’enfants vaccinés, et les académies jugent que l’absence de vaccination d’enfants ne serait pas éthique [28, 45].
- L’augmentation inexpliquée des maladies auto-immunes, des maladies neurodégénératives, des allergies et de l’autisme est, chronologiquement, parallèle à l’augmentation des stratégies vaccinales. La possibilité d’un lien n’a jamais fait l’objet d’un programme de recherche significativement financé [18, 24, 38, 45].
- Le corps humain utilise le matériel génétique des bactéries et des virus, afin d’acquérir des capacités supplémentaires à neutraliser et à éliminer certaines substances indésirables. En ce sens, la vaccination perturbe ou empêche ces phénomènes naturels de détoxification [5, 26, 27, 53, 54].
- Les études de toxicité des vaccins, réalisés en laboratoire avant la mise sur le marché, ne permettent pas d’assurer une protection satisfaisante : elles peuvent ne pas détecter certains effets rares ou de long terme sur l’homme [1, 14, 7, 10, 18, 20, 30, 45], elles ne comprennent pas de femmes enceintes (à raison) [4], elles sont moins exigeantes que les études portant sur les médicaments [2, 12, 45, 52], elles portent sur la substance active du vaccin uniquement, non associée à son adjuvant [41, 44, 46]. Par ailleurs, les études de qualité coûtent cher ; elles sont financées par des fabricants, qui ont besoin de résultats positifs [8, 10, 49] ;
- La pharmacovigilance, le système de suivi des effets indésirables une fois les vaccins mis sur le marché, présente aussi des limites préoccupantes : elle repose sur une notification spontanée [1, 8, 18, 30, 32], qui est peu inscrite dans la culture française [18, 57] et qui porte sur un lien impossible pour la plupart des médecins [19, 28, 38, 39]. Par exemple, quand un symptôme est diagnostiqué, la plupart des professionnels de santé n’envisagent pas la possibilité d’un lien avec l’administration préalable d’un vaccin : ils ne font donc pas de déclaration [8]. La sous-déclaration des effets n’est d’ailleurs pas contestée par les autorités [18].
- Compte tenu des limites des études de toxicité et de la pharmacovigilance, les évaluations officielles de la balance bénéfices/risques sont inexactes, bien trop favorables à l’utilisation des vaccins [11, 14, 18, 26, 27, 28, 30]
- Les adjuvants des vaccins ont pour but de stimuler la réponse immunitaire. Pour certains systèmes immunitaires immatures, typiquement chez les nourrissons et les jeunes enfants, cette stimulation pourrait causer des troubles potentiellement graves et pérennes [8], comme des maladies auto-immunes [8, 11].
- Malgré l’absence de vaccination obligatoire, certains pays ne présentent pas plus d’épidémies que la France. Par exemple : l’Allemagne et l’Espagne [8].
- Seuls deux pays d’Europe ont des obligations vaccinales : la France et l’Italie [8, 15].
- La fin de l’obligation vaccinale contre la tuberculose n’a donné lieu à aucune recrudescence de la maladie chez les enfants [8].
- De nombreux experts des autorités sanitaires présentent des conflits d’intérêts significatifs [2, 10, 41, 42, 44, 45, 46, 47, 48, 52], cachés ou déclarés. Ces conflits d’intérêts perturbent la capacité des autorités à prendre des décisions non biaisées.
- Pour justifier la prise de mesures de maîtrise des risques liés à certains adjuvants et vaccins préoccupants, les fabricants demandent des niveaux de preuve très élevés. En matière de biologie, lorsqu’un produit est largement diffusé dans la population, ces niveaux sont très difficilement atteignables ; dans tous les cas, ils sont supérieurs à ceux requis pour mettre un nouveau produit sur le marché [37, 41, 46, 49, 52].
- Aucune étude n’a cherché à différencier l’absence de maladie due à la vaccination, de l’absence de maladie due à un bon état immunitaire sans vaccination [2].
- Par le passé, la plupart des maladies couvertes par un vaccin étaient considérées comme non préoccupantes. Par exemple, avant l’élaboration du vaccin ROR dans les années 1980, la rougeole était considérée comme d’une dangerosité proche de celle de la varicelle [14]. Malheureusement, les virus évoluent pour s’adapter aux vaccins, grâce à des mutations génétiques rapides. Par ce mécanisme, les vaccins ont tendance à aggraver des maladies initialement moins dangereuses [55, 56].
- La multiplication des maladies ciblées par la vaccination semble sans fin. La logique mise en avant par les pro-vaccins (rapport bénéfices/risques) sera probablement appliquée à tous les vaccins à venir. Aujourd’hui, trois vaccins sont obligatoires, 11 le seront en 2018… où cela va-t-il s’arrêter ? [1]
- En matière de sécurité des vaccins, les autorités peuvent se tromper et, même très récemment, se trompent encore. Par exemple, en 2013, le HCSP a recommandé de vacciner tous les nourrissons de moins de six mois contre les gastro-entérites à rotavirus. Pourtant, en 2015, suite à l’observation d’effets indésirables graves, ayant pu entraîner la mort, le HCSP est revenu sur sa décision [21].
Voilà pour cette présentation des arguments en faveur de la non-vaccination. Cet article et les deux précédents ont permis de dresser une première cartographie des différents types d’arguments existants, ainsi que des acteurs associés. J’espère que cette cartographie contribuera à éclairer votre compréhension de la situation, et donc vos futurs choix.
A titre personnel, sur ce sujet comme sur ceux où des incertitudes existent, je trouve que faire un choix n’est pas simple. Cependant, aucun parent n’y échappe : une démarche d’évitement des risques n’est pas possible ; des risques existent pour la vaccination et pour la non-vaccination. Dans les deux articles suivants (Vaccination des enfants : ce que les parents devraient savoir avant de choisir (5/6)) , les derniers de la série, je partagerai comment j’articule ces différents éléments de connaissance, le processus par lequel j’ai abouti à mon avis du moment. Cet avis n’a pas vocation à être une recommandation ; le processus sous-jacent pourrait contribuer à nourrir vos propres réflexions.
Références
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POURQUOI JE NE CROIS PAS À LA VACCINATION + LE JUS BCG !
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Type de sources – code couleurs :
- organismes vendant des produits liés à l’information donnée ;
- magazines / journaux / émission de télévision ou de radio / blogs généralistes ;
- associations / ONG (aspects militants mis en avant) ;
- livres/interview/article de personnes qualifiées ;
- organismes publics de référence – réglementation ;
- articles scientifiques examinés par des pairs – revues associées.
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