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Comment protéger les enfants des polluants issus des couches

Oui, au fait, qu'est-ce qui compose la couche pour lui permettre d'être aussi performante ? Ne cherchez pas sur les paquets, les fabricants ne sont pas tenus de l'indiquer ! - 60 Millions de consommateurs

Nous faisons nôtres les conseils du pédiatre Dominique Le Houezec qui préconise de ne pas prendre celles avec ajouts de lotions, de parfums ou de colorants et de ne pas vous laisser piéger par des termes du type « hypoallergénique » qui n’ont aucune valeur scientifique. - Dr Laurent Chevallier

Bonjour à tous
Cet article porte sur les polluants présents dans les couches pour bébés.

Polluants couches bébés - supermarché

Il contribue au défi que je me suis lancé, lorsque l’arrivée de ma seconde fille a été confirmée. Pour consulter les articles du défi publiés à ce jour, cliquez ici : Articles de mon défi « Santé des enfants et environnement »

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Pour la plupart des parents de bébés et de très jeunes enfants, les couches constituent un accessoire quotidien et incontournable. Cet article synthétise le résultat de mes recherches portant sur les polluants qui peuvent être présents dans les couches pour enfants.

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Préambule

Les informations et les recommandations ci-dessous proviennent d’un ensemble de sources variées, décrites dans le paragraphe « Références », à la fin de l’article. Produire un travail d’expertise critique pour chaque information et chaque recommandation représenterait un travail lourd, notamment du fait des recherches bibliographiques associées : je ne suis pas en mesure de le réaliser, principalement pour des raisons de temps disponible.

Dans ce cadre, les objectifs de cet article sont les suivants :

  • informer sur les enjeux identifiés par les différents acteurs de la thématique ;
  • fournir un panorama des recommandations existantes ;
  • permettre un premier niveau d’analyse critique, sur la base des deux caractéristiques suivantes :
    • le nombre de sources proposant la recommandation. Ces sources sont énumérées entre [] après chaque recommandation ;
    • le type de ces sources : magazines/médias, association/ONG, livres, organismes publics, personnes qualifiées, articles scientifiques revus par des pairs, etc. Le type de source est facilement identifiable à l’aide d’un code-couleurs.

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Polluants issus des couches jetables pour bébés : quels sont les enjeux identifiés ?

Selon plusieurs sources, de profils divers (agence sanitaire, associations de consommateurs, ONG, certains chercheurs…), la plupart des couches jetables contiennent des substances toxiques [1-23, 28, 29]. Par exemple : des substances irritantes, allergènes ou cancérigènes, des perturbateurs endocriniens, des résidus de pesticides, etc. Ces substances font l’objet de préoccupations, notamment car elles peuvent être en contact direct et prolongé (quasiment 24h/24) avec les organes génitaux des bébés.

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Les premières années de vie correspondent à une période où les enfants sont très vulnérables : de faibles expositions à des substances toxiques peuvent avoir des effets graves et pérennes. En particulier, la peau des bébés est plus fine que celle des adultes : elle protège donc moins contre le passage de substances chimiques [3, 9]. Dans ce contexte, les efforts des parents pourront se concentrer sur les expositions des premières années de vie ; celles liées aux substances présentes dans les couches en font partie.

 

Origines des substances préoccupantes

Ces substances préoccupantes peuvent avoir deux origines ; elles peuvent être [28] :

  • des substances intentionnellement ajoutées, dans l’objectif de produire certains types d’effets : « super-absorbance », odeur, couleur…
  • des résidus du procédé de fabrication : utilisation de solvants, blanchiment des matières premières, utilisation de végétaux issus de l’agriculture conventionnelle (utilisant des pesticides), etc.

Par ailleurs, la composition des couches ne fait pas l’objet d’un affichage obligatoire sur les emballages [9, 22]. Les informations permettant un choix éclairé ne sont donc pas disponibles pour le consommateur. En particulier, les affichages du type « hypoallergénique » ne correspondent pas à des référentiels scientifiques reconnus et partagés [9, 13]. Néanmoins, depuis les résultats préoccupants d’une évaluation des risques réalisée en 2019 [28], les fabricants ont pris l’engagement de rendre disponible « un affichage de manière dématérialisée » [29].

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Les évaluations de risque réglementaires (avant autorisation de mise sur le marché) ne sont pas suffisamment spécifiques à l’utilisation des couches [9, 10]. En particulier :

  • ces évaluations ne considèrent pas une application directement sur la peau pendant toute la journée, dans un milieu souvent humide [28] ;
  • les limites réglementaires de plusieurs substances impliquées ont été définies pour des expositions par inhalation, et non pour des expositions par contact cutané.

Par conséquent, les évaluations réglementaires peuvent être insuffisamment protectrices pour les bébés, comme l’a confirmé une expertise de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) datée de 2019 [28]. Mieux vaut éviter la présence de substances toxiques dans les couches [9, 28].

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Exemple de substances préoccupantes

Les substances préoccupantes fréquemment citées incluent :

  • Trybutilétain (TBT) [1, 3, 16, 17] ;
  • Polyacrylate de sodium [1, 3, 9, 13, 15, 17], le produit chimique qui permet d’obtenir un fort effet absorbant ;
  • Hydrocarbures aromatiques polycliniques (HAP) [1, 2, 3, 9, 11, 19, 27, 28] : chrysène, benzo[a]anthracène, xylène, naphtalène…
  • Dioxines [3, 4, 9, 15, 17, 26-28], résidus de procédés de blanchiment utilisant du chlore ;
  • PCB [28] ;
  • Composés organiques volatils (COV) [3, 9, 17, 18] : éthylbenzène, toluène, styrène…
  • Phtalates [3, 23], présents dans les plastiques utilisés ;
  • Résidus de pesticides [1, 9, 11, 26] ;
  • Fragrances [5, 6, 7, 13, 15, 17, 28] ;
  • Parabènes [6, 11] ;
  • Limonène [3, 17].

Ces substances toxiques sont donc potentiellement nombreuses au sein d’une même couche. Or les effets des expositions à des mélanges sont aujourd’hui mal connus. En particulier, la toxicité des substances peut rentrer en synergie (ici délétère).

La réglementation actuelle ne couvre pas ces « effets cocktails », faute de connaissances suffisantes. En particulier, elle fixe des limites substance par substance… et même pas pour toutes les substances impliquées. Par exemple, le glyphosate, principe actif du célèbre pesticide « Round-up » de la société Monsanto, a été mesuré dans des couches et ne fait pas l’objet d’une limite réglementaire [9].

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D’après l’Anses, « les Etats en Europe n’ont pas de réglementation spécifique, actuellement, sur les substances chimiques présentes dans les couches pour bébé » [36]. En 2017, la ministre en charge de l’environnement, Ségolène Royal, a alerté le Commissaire européen à la santé, « afin qu’il prenne les mesures réglementaires adaptées pour l’ensemble du marché européen pour imposer la suppression des substances potentiellement toxiques dans les produits d’hygiène » [22].

 

Evaluation de risques

En 2019, l’Anses a publié une évaluation de risques portant sur la sécurité des couches pour bébés à usage unique [28], une première mondiale [32], dont les principales conclusions incluent :

  • des dépassements de seuils sanitaires on été obtenus, dans des conditions d’usage réalistes, pour plusieurs substances : substances parfumantes, certains HAP, certains PCB, dioxines…
  • « l’Anses souligne la nécessité de mesures réglementaires plus restrictives tant au niveau national qu’au niveau européen […], afin de sécuriser la fabrication des couches pour bébé » ;
  • il est recommandé :
    • « d’éliminer ou de réduire au maximum les substances chimiques présentes dans les couches pour bébé« , et plus particulièrement, supprimer l’utilisation de toutes substances parfumantes, notamment celles susceptibles de présenter des effets sensibilisants cutanés.
    • de « renforcer le contrôle des substances chimiques dans les couches jetables mises sur le marché« .

Suite à cette évaluation de l’Anses, les services de l’état (DGCCRF) ont constaté en 2020 une baisse de la teneur en substances toxiques dans les couches : aucun seuil sanitaire, défini substance par substance [30], n’a été dépassé dans un échantillon d’une trentaine couches [29]. En complément, fin 2020, l’Anses a proposé, au niveau européen, de réduire le nombre et le niveau des substances chimiques présentes dans les couches [31] ; cette proposition n’a pas été validée par le Comité d’évaluation des risques de l’ECHA. [35]

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Polluants issus des couches jetables pour bébés : quelles sont les recommandations existantes ?

Afin de diminuer les expositions des bébés aux substances toxiques présentes dans les couches jetables classiques, plusieurs pratiques alternatives peuvent être considérées :

  • utiliser des couches jetables dites « écologiques » [3, 8, 13, 14, 15, 18]. En général, ces couches garantissent l’absence de parfum, d’alcool, de colorant et de lotion dérivée de produits pétroliers. Les versions sans dioxines [3] et sans chlore [3] pourront être privilégiées. Certains comparatifs, comme ceux de 60 millions de consommateurs [9, 26] ou de la DGCCRF [29], étudient plusieurs couches jetables écologiques et analysent leur composition respective ;
  • utiliser des couches lavables [3, 8, 12, 13, 15]. Les versions non-blanchies [3, 15] et faites de coton issu de l’agriculture biologique [3] pourront être privilégiées. En outre, certains labels assurent l’absence de certaines substances préoccupantes classiques. Par exemple : Oeko-Tex, GOTS… [34] Cette option implique certaines contraintes logistiques différentes de celles des couches jetables, notamment : lavages assez fréquents, besoin d’une bonne capacité de séchage (petit appartement ?), etc. Certaines maternités utilisent des couches lavables [33].
  • pratiquer l’hygiène naturelle infantile (HNI), c’est-à-dire élever son enfant sans couche [3, 24]. La HNI consiste à identifier les signaux visuels du bébé annonçant une selle ou de l’urine, puis à le mettre sur un pot ou sur des toilettes. En particulier, cette démarche est encore utilisée dans certaines populations non-industrielles : nos ancêtres préhistoriques se sont probablement basés sur ses principes pendant des millions d’années.

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Labels (santé-)environnement

Certains fabricants de couches mettent en avant des labels (Ecocert, Gots, FSC, AB vincotte…). Ces labels sont principalement focalisés sur l’impact environnemental des produits. Néanmoins, le label “Nordic Swan” inclut des critères sanitaires [25], portant sur certaines substances chimiques préoccupantes : cancérigènes, nanoparticules, reprotoxiques, retardateurs de flamme halogénés, etc.

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polluants issus des couches bébés - labels

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Pour conclure, sur ce sujet des polluants issus des couches jetables pour bébés, les données et les analyses scientifiques disponibles ont été longtemps peu nombreuses. En 2019, l’Anses a fait un grand pas en avant, en réalisant la première évaluation de risques par une agence de sécurité sanitaire au niveau international. Cette évaluation a conduit les fabricants à diminuer la teneur de plusieurs polluants dans les couches. Néanmoins, compte tenu du type d’exposition considéré (quasi-continue, dans un milieu souvent humide, en contact direct avec la peau très fine des bébés et avec leur organes génitaux), que l’Anses a proposé des restrictions réglementaires plus strictes et que de nombreuses substances préoccupantes sont impliquées (l’Anses demande des restrictions pour près de 200 substances ; les effets des mélanges sont imparfaitement maîtrisés), opter pour une approche de précaution me semble préférable.

 

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Références – polluants issus des couches jetables pour bébés

  1. Toma O. Lettre ouverte à Pampers. 2016. Notamment : lien. Et aussi :
  2. Torgemen E – Le Parisien. Consommation : des produits cancérigènes dans les couches. 2016. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et également :
  3. Gifford D. Small Footprint Family. Why disposable diapers are dirty and dangerous. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et aussi :
  4. DeVito MJ, Schecter A. Exposure assessment to dioxins from the use of tampons and diapers. Environ Health Perspect 2002. Notamment : doi. Et également :
  5. Jennifer Counts J et al. Common Diaper Ingredient Questions: Modern Disposable Diaper Materials Are Safe and Extensively Tested. Clinical Pediatrics 2017. Notamment : doi. Et aussi :
  6. Yu J, et al. Potential Allergens in Disposable Diaper Wipes, Topical Diaper Preparations, and Disposable Diapers: Under-recognized Etiology of Pediatric Perineal Dermatitis. Dermatitis. 2016. Notamment : doi. Et également :
  7. Umachitra G et al. Disposable baby diaper – a threat to the health and environment. J Environ Sci Eng 2012.
  8. Que Choisir. Guide d’achat Couches pour bébés. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et aussi :
  9. N’Sondé V et al. Stop aux résidus toxiques pour les bébés. Magazine 60 millions de consommateurs n°523 – février 2017. Et également :

Davantage de références – 1

  1. Site Internet de Science et avenir ; Jalinière H. Des cancérigènes dans les couches Pampers : un résultat en trompe-l’œil. 2016. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et aussi :
  2. Nail-Billaud S – site Internet doctipharma.fr. Comment choisir des couches sans risque pour la santé de bébé ?Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et également :
  3. Frydman R. Environnement et grossesse. Hachette Pratique 2011. Et aussi :
  4. Chevallier L. Le guide anti-toxique de la grossesse. Marabout 2016. Et également :
  5. Halimi P. La Grande détox : Comment éviter les poisons du quotidien ? Calmann-Lévy 2015. Et aussi :
  6. Ourth AS. Thèse Les couches lavables constituent une alternative moderne, écologique et économique aux couches jetables. Faculté universitaire des sciences agronomiques de Gembloux. 2003. Et également :
  7. New tests confirm TBT Poison in Procter & Gamble’s Pampers: Greanpeace demands world-wide ban of organotins in all products. 2000 – Action against TBT in Germany – 2000. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et aussi :
  8. Kassem N – Site Internet livestrong.com. Chemicals in Disposable Diapers. 2013. Consulté le 22/02/2018. Et également :
  9. Healthy Child Healthy World. Creating a Cleaner, Greener, Safer Home. Plume 2008. Et aussi :
  10. Association Santé Environnement France (ASEF). La couche qui fait déborder le vase. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et également :

Davantage de références – 2

  1. Women in Europe for a Common Future (WECF) – Projet Nesting. Suite à la récente médiatisation française de présence de « résidus » toxiques dans les couches pour bébés. 2017. Consulté notamment le 22/02/2018. Et aussi : Couches : 60 Millions de consommateurs dénonce leur composition. 2017. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et aussi :
  2. 60 millions de consommateurs. Couches bébé : le message de 60 Millions entendu ! 2017. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et également :
  3. Site Internet du Sénat. Question écrite n° 25110. Réglementation sur la composition des couches pour bébés. 2017. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et aussi :
  4. Nicolino F. Un empoisonnement universel : Comment les produits chimiques ont envahi la planète. Éditions Les Liens qui libèrent 2014. Et également :
  5. Phung C. Conseils et astuces pour élever son enfant sans couches ou presque ! L’hygiène naturelle infantile. Le Souffle d’Or 2009. Et aussi :
  6. Nordic Swan Ecolabel. Product groups. Notamment : lien. Consulté le 22/02/2018. Et également :
  7. 60 millions de consommateurs. Protégez bébé des toxiques ! Magazine n°540 – septembre 2018. Et aussi :
  8. Que Choisir n°573. Couches pour bébés – le point sur les risques. Octobre 2018. Et également :
  9. Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). L’Anses recommande d’améliorer la sécurité sanitaire des couches pour bébé. 2019. Notamment : lien. Et aussi :
  10. Substances chimiques dans les couches pour bébés : l’enquête de la DGCCRF confirme l’amélioration de la qualité des produits et l’absence de dépassement des seuils sanitaires. Notamment : lien. 2020. Et également :
  11. Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Note révisée d’appui scientifique et technique de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif à la présence de substances chimiques dans les couches bébé à usage unique. 2020. Notamment : lien. Et aussi :

Polluants issu des couches pour bébés : références – suite

  1. Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Couches jetables : l’Anses propose une restriction des substances chimiques dangereuses pour toute l’Union européenne. 2020. Notamment : lien. Et également :
  2. Audition de Roger Genet, Directeur Général de l’Anses. Dans : Toutut-Picard E, Josso S. Rapport fait au nom de la commission d’enquête sur l’évaluation des politiques publiques de santé environnementale – Tomes 1 et 2. Assemblée Nationale 2020. Notamment : lien. Et aussi :
  3. Wecf France. Webinaire « Santé-environnement : mieux protéger les 1000 premiers jours de la vie ». Table-ronde : quelles approches de terrain pour protéger les 1000 premiers jours et la santé à l’âge adulte ? . Intervention de Dominique Licaud, Sage-femme coordinatrice en maïeutique au Centre hospitalier d’Angoulême. Notamment : lien. Et aussi :

  4. Agence de la transition écologique (ADEME). Labels Environnementaux. Notamment : lien. Et également :
  5. Comité d’évaluation des risques de l’ECHA. Risks from chemicals in baby diapers not demonstrated. Notamment : lien. Et également :
  6. Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Couches pour bébés. Limiter la présence de substances préoccupantes pour protéger leur santé. 2020. Notamment : lien

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Type de sources : code couleurs – Polluants issus des couches pour bébés

  • Organismes vendant des produits liés à l’information donnée. Et aussi :
  • Magazines / journaux / émission de télévision ou de radio / blog généraliste. Et également :
  • Associations / ONG. Et aussi :
  • Livre/interview/article/conférence de personnes qualifiées. Et également :
  • Organismes publics de référence – réglementation. Et aussi :
  • Articles scientifiques examinés par des pairs – revues associées.

 

Photos notamment par miguelb et Heather

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8 réponses

  1. Bonjour Guillaume,

    Merci beaucoup pour ton article qui propose une première synthèse déjà très instructive sur les risques potentiels liés aux substances contenues dans les couches ! Le sujet et l’absence de connaissance sur ce dernier semblent en effet très préoccupants.
    J’espère que l’ANSES a continué à travailler sur l’étude mentionnée et la produira bientôt et qu’à la suite du changement de gouvernement, le ministère de la transition écologique et solidaire actuel est également mobilisé sur le sujet ?!

    1. Bonjour Yum.
      Pas de nouvelle à ce jour et je ne vois rien en ce sens sur le site Internet de l’ANSES ou du ministère de la santé.
      Si tu souhaites avoir des informations complémentaires sur ce thème, le 60 millions de consommateur de ce mois-ci en fait un dossier spécial.

  2. Pour nous la décision à été assez clair, on prendra des couches lavables pour notre petite qui arrive en juin prochain. En plus d’être plus respectueux de l’environnement, c’est aussi nettement plus sain pour les enfants.

  3. Bonjour,
    Bravo pour cet article, j’espère qu’il contribuera à faire changer les mentalités. Personnellement je suis heureuse d’en avoir fini avec les couches, 8 ans d’affilé pour mes trois enfants quand même☺. J’ai toujours utilisé des couches lavables et selon moi il n’y a rien de mieux.

    1. Bonjour Anaëlle.
      Merci pour le retour d’expérience… et surtout félicitations pour tes 8 ans avec couches lavables ! 🙂
      Plus sérieusement, c’est bien d’avoir un témoignage du type « c’est faisable, je l’ai fait » ; dans mon entourage, c’est assez minoritaire

    1. Bonjour Julien
      Content que cet article contienne du contenu intéressant pour toi. Si tu souhaites avoir des informations complémentaires sur ce thème, le 60 millions de consommateur de ce mois-ci en fait sa première page.

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